Cernée par un site marécageux, la vieille église de Saint André des Eaux remontait au XIème siècle, d'une longueur de 18 mètres pour une largeur de 6 mètres, l'édifice était divisé par un arc de triomphe. D'étroites meurtrières éclairaient l'endroit où l'on pouvait encore admirer diverses peintures romanes. A maintes reprises l'édifice fut inondé, alors pour assurer la messe, le recteur devait monter à cheval ou se faire porter sur le dos des paroissiens les plus robustes.L'une des composition représentait un combat de chevaliers et une Crucifixion. Le Christ imberbe était sur une croix en tau, tout le bas du corps était drapé. La Vierge et Saint Jean se tenaient de chaque côté de la croix. Près de la Vierge un personnage barbu, épiant l'agonie, figurait la Synagogue.
Au dessus de la croix deux médaillons radiés inscrits dans des cercles, deux visages se penchent et regardent. Hélas en 1896, le modeste sanctuaire fut oublié et se détériora avec le temps...Église orientée, de petites dimensions (dix huit-mètres sur six mètres) bâtie sur un plan rectangulaire en petit appareil mélangé de briques ; elle est éclairée par quatre meurtrières, deux dans chaque longères, percées à six mètres au-dessus du sol ; une autre lancette en plein cintre porte une archivolte en pierre calcaire, ornée de cinq petits dessins au traits paraissant figurer des palmettes. Tout l'ensemble de ce petit édifice accuse une haute antiquité.
L'unique porte, pratiquée dans la longère sud est en plein cintre, à double arcature et à archivolte simple ; elle a été restaurée au quinzième siècle, époque à laquelle on l'a surmontée d'un écu où l'on ne reconnaît plus qu'un sautoir. Près du maître-autel, sacraire avec arcade en accolade. La sacristie est de 1696. Cernée par un site marécageux, la vieille église de Saint André des Eaux remontait au XIème siècle, d'une longueur de 18 mètres pour une largeur de 6 mètres, l'édifice était divisé par un arc de triomphe.
D'étroites meurtrières éclairaient l'endroit où l'on pouvait encore admirer diverses peintures romanes. A maintes reprises l'édifice fut inondé, alors pour assurer la messe, le recteur devait monter à cheval ou se faire porter sur le dos des paroissiens les plus robustes.
L'une des composition représentait un combat de chevaliers et une Crucifixion.Le Christ imberbe était sur une croix en tau, tout le bas du corps était drapé. La Vierge et Saint Jean se tenaient de chaque côté de la croix. Près de la Vierge un personnage barbu, épiant l'agonie, figurait la Synagogue.
